Les compagnons de St Honoré font la fête du pain chaque année à Rolleville. Lors de la dernière fête, ils ont dégagé un excedent de trésorerie et ont décidé de l'affecter aux Restos du Coeur pour l'inter campagne.
Merci de leur solidarité
lundi 10 mai 2010
LES COMPAGNONS DE ST HONORE DE ROLLEVILLE SOLIDAIRES DES RESTOS
Les compagnons de St Honoré font la fête du pain chaque année à Rolleville. Lors de la dernière fête, ils ont dégagé un excedent de trésorerie et ont décidé de l'affecter aux Restos du Coeur pour l'inter campagne.
Merci de leur solidarité
dimanche 2 mai 2010
LA PAUVRETE PROGRESSE
La pauvreté progresse fortement en seine maritime.
Au-delà de la simple analyse du taux d’augmentation des personnes aidées par notre association, ce sont de nouvelles populations qui ne s’en sortent plus.
Si les personnes bénéficiant de l’aide alimentaire étaient des personnes ayant subi un ‘’accident de la vie’’, divorce, chômage, décès d’un conjoint ou population fortement défavorisée, les primo arrivants sont désormais issus du monde inséré socialement.
• Des retraités qui ont vu leur solde financier s’effondrer suite aux augmentations successives des loyers, de l’énergie, de l’accès à la santé avec les forfaits en tout genre qui se créent et augmentent alors que les retraites stagnent.
• Les anciens artisans, cultivateurs, commerçants dont les droits à Retraite sont insignifiants, vivant largement sous le seuil de pauvreté.
• Des personnes à mobilité réduite, isolées souvent âgées, dont la seule ressource restent les associations car les portages de repas à domicile sont onéreux et ne correspondent pas à leurs attentes, elles sont en possibilité et désir de se préparer leur repas.
• Des travailleurs pauvres, a temps partiel, voire avec des heures ici et là étant occupés de 5h du matin à 21h le soir pour 3 à 4 heures de travail par jour en séquence d’une heure ici et 1 h là avec des temps de transports énormes.
• Des étudiants par centaines qui ne peuvent plus se loger décemment tout en assurant un équilibre alimentaire décent et un accès à la culture normal pour toute personne.
• Des mères de familles isolées, dévalorisées et ayant souvent perdu l’estime de soi au point de ne plus voir la possibilité pour leurs enfants d’un ascenseur social possible ou encore accessible.
Et puis pour les autres, une augmentation du nombre n’ayant pas accès à leur droits sociaux, parce que non aidées, non soutenues et non orientées par les services sociaux.
Des personnes de tous âges se présentent, en larmes avec un sentiment d’échec lorsqu’elle sont avancées en âge alors qu’elles ont travaillé dur toute leur vie, avec un sentiment d’injustice lorsqu’elles sont jeunes et renvoyées vers ‘’l’obligation familiale de secours’’ quant la rupture familiale est là.
Bien souvent, lorsqu’il faut faire un choix éducatif du fait du manque de finances, les filles des familles ne soNt pas prioritaires à l’inscription à l’université
Oui la pauvreté progresse partout, elle inquiète tout le monde et nous nous devons d’être à l’écoute quotidienne de cette peur là.
Au-delà de la simple analyse du taux d’augmentation des personnes aidées par notre association, ce sont de nouvelles populations qui ne s’en sortent plus.
Si les personnes bénéficiant de l’aide alimentaire étaient des personnes ayant subi un ‘’accident de la vie’’, divorce, chômage, décès d’un conjoint ou population fortement défavorisée, les primo arrivants sont désormais issus du monde inséré socialement.
• Des retraités qui ont vu leur solde financier s’effondrer suite aux augmentations successives des loyers, de l’énergie, de l’accès à la santé avec les forfaits en tout genre qui se créent et augmentent alors que les retraites stagnent.
• Les anciens artisans, cultivateurs, commerçants dont les droits à Retraite sont insignifiants, vivant largement sous le seuil de pauvreté.
• Des personnes à mobilité réduite, isolées souvent âgées, dont la seule ressource restent les associations car les portages de repas à domicile sont onéreux et ne correspondent pas à leurs attentes, elles sont en possibilité et désir de se préparer leur repas.
• Des travailleurs pauvres, a temps partiel, voire avec des heures ici et là étant occupés de 5h du matin à 21h le soir pour 3 à 4 heures de travail par jour en séquence d’une heure ici et 1 h là avec des temps de transports énormes.
• Des étudiants par centaines qui ne peuvent plus se loger décemment tout en assurant un équilibre alimentaire décent et un accès à la culture normal pour toute personne.
• Des mères de familles isolées, dévalorisées et ayant souvent perdu l’estime de soi au point de ne plus voir la possibilité pour leurs enfants d’un ascenseur social possible ou encore accessible.
Et puis pour les autres, une augmentation du nombre n’ayant pas accès à leur droits sociaux, parce que non aidées, non soutenues et non orientées par les services sociaux.
Des personnes de tous âges se présentent, en larmes avec un sentiment d’échec lorsqu’elle sont avancées en âge alors qu’elles ont travaillé dur toute leur vie, avec un sentiment d’injustice lorsqu’elles sont jeunes et renvoyées vers ‘’l’obligation familiale de secours’’ quant la rupture familiale est là.
Bien souvent, lorsqu’il faut faire un choix éducatif du fait du manque de finances, les filles des familles ne soNt pas prioritaires à l’inscription à l’université
Oui la pauvreté progresse partout, elle inquiète tout le monde et nous nous devons d’être à l’écoute quotidienne de cette peur là.
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